ANNÉE 2012

Antoine POUPEL et Olivier DERESSE
PERCEPTIONS – Photographie et Peintures

samedi 1er– vendredi 28 décembre 2012


Mitsuharu SAWADA
Illusion Ontologique – Peinture

jeudi 18 octobre – samedi 24 novembre 2012

M.Sawada


Motoko TACHIKAWA
Peintures – dessins – livres d’artiste

samedi 8 septembre – samedi 13 octobre 2012

Camelia


Antoine POUPEL
Zingaro

samedi 10 mars – dimanche 15 avril 2012

Eclipe

Walking skin

Jane NORBURY

Gentle Waves
Jane Norbury – Tatsuhiro Suizu – Hiromi Kuboi
Extrait de l’exposition du 25 mai au 15 juin 2024

INTERFACE DU VIVANT
Extrait de l’exposition du 9 novembre au 23 décembre 2017

Pendant mes études de céramique aux beaux-arts en Angleterre, j’ai fait un échange avec les beaux-arts d’Aix en Provence. Les rencontres de l’époque ont été décisives, et lors de  mon séjour dans l’atelier de Bernard Dejonge, j’ai envisagé le rêve d’un lieu de création pour moi en France. En 1991, j’ai transféré mon atelier, du centre ville de Londres à l’environnement rural de la Saône et Loire. Le changement de pays, le défrichage d’un terrain abandonné et la proximité avec la nature, m’a permis d’approfondir un travail en terre en relation avec la végétation et l’espace environnant. Ma matière d’expression reste toujours l’argile mais mon travail traverse les frontières : sculptures, installations, performances.

Après 40 ans de travail avec l’argile, je me rapproche de plus en plus de la possibilité de laisser mon corps, mon esprit et le matériau travailler ensemble, en tandem, sans qu’un ne domine l’autre. Au fil des ans, j’ai bénéficié de la pratique du yoga et j’ai réalisé que la peau de mon corps est une feuille connectée et qu’une manipulation d’une partie du corps affecte l’ensemble, que la peau est la membrane qui nous contient et qui est en contact avec le monde extérieur. Dans mes sculptures en argile actuelles, j’explore une énergie similaire entre les espaces intérieurs et extérieurs, et le mouvement créé par leur dynamique centrale.

J’ai commencé à développer des sculptures où les plis autour de l’espace central devenaient plus amples et plus importants, inspirant et expirant, et conférant une plus grande énergie au volume interne. C’est la série actuelle que j’appelle Walking skin. Travailler à plus grande échelle amplifie les mouvements provoqués par les manipulations des plaques d’argile malléables et permet à la vague du mouvement de se développer. En construisant à la main sur les formes émergentes et en suivant les moments initiaux, je permets aux ondulations de se développer en forme plus grande et plus inattendues. Je travaille les pièces à l’envers dans une forme contraignante et ne vois la pièce finie que lorsque je la retourne à la fin du processus. De cette façon, l’argile m’offre des surprises que je n’aurais pas pu imaginer.

Jane Norbury, céramiste et plasticienne, 2024

Biographie

Née 1958 a Maidstone au Royaume – Uni, Vie et travail à Saisy, Saône-et-Loire, Bourgogne.

1986 Bourse d’installation(Setting Up Grant), Crafts Council, London
1983 – 84 Université de Londres, Goldsmiths College, Art Teachers Certificate, London
1981 – 82 École des Beaux-Arts d’Aix-en-Provence, Poste diplôme céramique, France
1978 – 81 West Surrey College of Art and Design, Diplôme de céramique, Royaume-Uni
Résidences
2018 Anderson Ranch Arts Center, Colorado, État-Unis
2013 Résidence à Shigaraki Ceramic Cultural ParK, Japon
2008 Centre d’art Contemporaine Vaste et Vaque, Gaspésie, Canada
Expositions récentes sélectionnes
2024 “Gentle waves” GALERIE 48, Brignais, France
2023 “Walking Skins” Centre Céramique La Borne, France
2023 “Fibre Sensible” Ecuries St Hughes, Cluny, France
2023 Galerie Mirabilia, Lagorce, France
2022 “Migration(s)” Musée Ariana, Genève, Suisse
2022 “Nuages” Galerie Camera Obscura, Paris
2022 “Salon Révélations” Collection Galerie, Grand Palais, Paris
2022 “Infini” Musée Lucien de Gheus, Popringe, Belgique
2021 “Flux d’Argiles” solo, La Grange Dîmière, Le Pin, France
Galerie Camera Obscura, Paris
Galerie du Pont des Z’arts, Seyssel, France
2020 “Nature et Industrie” Le Sentier, Suisse
Adrienne D Galerie, Kortrijk, Belgique
IAC New membres exposition, Beijing, Chine
“De couleur et de terre” La Grande Galerie, Savasse, France
2019 Gyenoggi International Céramique Biennale, Corée
Installation et Performance de Jane Norbury, Les Allées Céramiques, Toulouse, France
Salon Céramique Contemporaine, C14, Paris
2018 Galerie Collection, Paris
Anderson Ranch Arts, Colorado, Etats-Unis
Les Journées de la Céramique St Sulpice – Paris
2017 “Interface du vivant” Henri Baviera et Jane Norbury, GALERIE 48, Lyon
“Timeline” Bibracte,  Musée et Site archéologique, St-Léger-sous-Beuvray
“Ceramic Event VIII”  Bruxelles, Belgique
SOFA/Collection Galerie,  Chicago, États-Unis
2016 Biennale de la Céramique, Chantemerle-lès-Grignan, Drôme
“L’eau touche la terre” Église de Cortiamble, Art Image, Chalon-sur-Saône
Céramique 14, Paris
2015 “Corps Sensibles”  L’arc – scène Nationale, Le Creusot, Bourgogne
“Hors socle et Suite sur socle”  Centre Céramique de Giroussens, Tarn
“Vivre le lieu” Parcours d’art contemporain, Ozenay, Bourgogne
“De couleur et de terre” La Grande Galerie, Savasse, Drôme
2014 “White Stream” Cambo House, Ecosse, Royaume-Uni
“Les journees de la Ceramique” St Sulpice, Paris
2013 “Strates” Espace Gainville, Aulnay – sous-bois, Île-de-France
“Shigaraki Mix,” Shigaraki Ceramic Cultural Park, Shiga, Japon
2012 Galerie Nadia B, Dieulefit,  Drôme
2011 Biennale de la Céramique Contemporaine, Châteauroux, Centre-Val de Loire
Collections
Mueseum of Contemporary Ceramic Art, Shigaraki, Japon
Royaume-Uni, France, États-Unis, Allemagne
Ninja-Haori

Yuco OYA – SATO

KIMONO
Extraits de l’exposition du 8 novembre au 22 décembre 2018

Depuis mon adolescence, je confectionne et couds à la main des kimonos, des haoris (vestes portées sur kimono) et des obis (ceintures de kimono) dans la plus pure tradition japonaise à partir de tissus japonais de fabrication artisanale. Je connais bien les lignes directrices ancestrales rigoureuses qui assignent que ” le kimono doit être comme-ci ou comme-ça”, de sorte que le monde du kimono traditionnel avec ses règles fort strictes n’accepte pas volontiers l’innovation. Mais ayant vu parfois portés sans allure des haoris traditionnels sur des vêtements occidentaux, j’ai eu envie de créer un haori élégant qui conviendrait sans discordance tant aux kimonos qu’à divers autres styles de vêtements. C’est ainsi que je me suis attachée à faire de nouvelles créations, inspirées par la liberté et la sensibilité des français pour la beauté dans ce pays où je vis depuis mon mariage. Pour mes créations, je sélectionne soigneusement les plus belles matières françaises et japonaises.
En épilogue, je crois pouvoir dire que c’est le tissu qui m’a amenée en France, ce pays animé d’esprit et de goût qui reconnait et admire les belles choses, au-delà de toute considération d’époque, d’âge, ou de géographie, et où l’on peut s’exprimer en toute liberté. Finalement, je pense pouvoir dire qu’il a avivé ma passion pour les tissus, et développé en moi le sens de la beauté. Au Japon, je souhaiterais insuffler un vent nouveau dans le monde du kimono classique avec les plus beaux tissus français. En France, j’aimerais faire connaître la beauté des fabrications japonaises.

Yuco OYA-SATO

Biographie

Née à Wakayama au Japon en 1969, vit et travaille à Sélestat en France.

1988 Diplôme de l’école de couture Oohara – spécialité kimono, Osaka, Japon
Ouverture d’un atelier en tant que confectionneuse de Kimono, Osaka, Japon
2004 Apprentissage de la broderie traditionnelle japonaise à Kyoto au Japon.
Début de création de Obi original ornés de perles de verre, de dentelle française et de broderie japonaise
2006 Arrivée en Alsace
2010 Création d’un nouveau style de haori et d’obi qui s’accordent avec tous les types de vêtements
Expositions
2018 “KIMONO” GALERIE 48, Lyon
2017 Exposition personnelle, Galerie LAPIN ET HALOT, Tokyo, Japon
Exposition personnelle, Salle de la Décapole, Turckheim, Alsace
2016 avec Seiryu HIYAMA teinturier, La villa impérial Tamozawa, Nikkô, Japon
2015 “Escales en Asie” Galerie La ligne bleue, Sélestat, Alsace
2014 Exposition personnelle, Salle de la Décapole, Turckheim, Alsace
2013 avec Nathalie SAVEY photographe, L’Escalier, Brumath, Alsace
L'adoration

Carl-Henning PEDERSEN

Gravures d’aujourd’huiSix artistes contemporains
Pierre ALECHINSKY – Hervé DI ROSA – Speedy GRAPHITO – Carl-Henning PEDERSEN – Gottfried SALZMANN – Richard TEXIER
Extrait de l’exposition du 10 septembre au 29 octobre 2016

Carl-Henning PEDERSEN

Biographie

Né en 1913 et décédé en 2007 à Copenhage au Danemark.
L’un des principaux artistes danois de la seconde moitié du 20e siècle, membre clé du mouvement CoBrA (Copenhague – Bruxelles – Amsterdam) entre 1948 et 1951.
Sa peinture est vive et spontanée, on l’a dénommé le « Chagall de Scandinavie ».  Redécore, dans les années 80, la cathédrale gothique de Ribe au Danemark.

Collage 4.15.17

Joseph PIASENTIN

Au-delà des rivagesL’intersection de la lumière et de la structure
Extrait de l’exposition du 16 septembre au 4 novembre 2017

Choix de petits formats
Extrait de l’exposition collective du 5 novembre au 23 décembre 2016

Mon travail est la conséquence d’un processus. Plutôt qu’une image, chaque œuvre est un objet créé à travers la succession des actions et des réactions aux propriétés des matériaux employés, ainsi qu’à leurs relations. J’obéis à l’instinct qui me guide parmi de nombreuses options, le processus de création devenant une exploration intuitive des différentes possibilités. Des impératifs se manifestent alors au sein des connexions découvertes, du motif réalisé et de l’association sélectionnée, ce qui aboutit à la création d’une réalité autonome.
Comme un acte de foi, la réponse instinctive que je trouve en moi guide le processus, révélant ma nature même.

Joseph PIASENTIN, 2017

Joseph Piasentin, New Work

Les collages peints de Joseph Piasentin réjouissent le regard en laissant apercevoir la joie sans mélange que l’artiste éprouve au cours du processus créatif. Son travail s’inspire de la diversité des matériaux qu’il choisit. II dialogue avec leurs ressources tactiles, leurs textures, leurs motifs et leurs couleurs pour aboutir à un objet à la fois intime et plein de variété. Chaque couche estompe et révèle en même temps un travail sous-jacent et magistral, base sur laquelle l’œuvre prend forme. L’intuition s’affirme à mesure que l’artiste élabore sa composition, et de là naît un chef-d’œuvre.
Pour reprendre les propres mots de l’artiste : « Je considère mon travail comme un résultat de ce que je suis. Ce n’est pas une image, mais plutôt un objet qui se crée à partir d’un amalgame entre les matériaux et la réponse que je leur apporte ; entre les matériaux et ma réaction à eux et avec eux. Bien que des associations se produisent éventuellement, le résultat de la combinaison de ces matériaux, y compris la peinture, n’imite rien mais trouve une certaine réalité autonome. »
Chaque pièce est une mélodie visuelle qui nourrit l’âme par ses rythmes optiques. Elle installe un va-et-vient de relations spatiales par un recours maîtrisé aux vibrations des couleurs contrastantes . La profondeur qui en résulte est une métaphore des riches expériences qui se superposent dans la vie, un aperçu du processus qui célèbre la vertu la plus élémentaire de celle-ci – être dans le moment.

Donna Granata, 2017
Fondateur / Directeur exécutif
Focus on the Masters

Biographie

Né en 1950 aux États-Unis à San Mateo en Californie, vit actuellement à Ojai en Californie.

1977 Université Stanford, Californie, États-Unis
Master of Fine Arts Degree-Peinture
1974 California College of the Arts, Oakland, États-Unis
Bachelor of Fine Arts Degree
Expositions sélectionnées
2019 “The 5th Crosscurrent,” Tokyo Metropolitan Art Museum, Tokyo, Japan
2018 “LELA International,” Nagasaki Fine Art Museum, Nagasaki, Japan
“LELA International” Yokohama Citizen Gallery Art Forum, Yokohama, Japan
2017 “Au delà des rivages” Joseph PIASENTIN et Toko TOKUNAGA, GALERIE48, Lyon, France
2016 “Choix de Petits formats” GALERIE48, Lyon
Sakuragi Fine Arts, Tokyo, Japon
2015 Maruzen Gallery, Marunouchi, Tokyo, Japon
2014 Long Beach Museum of Art, Californie, États-Unis
2013 Gallery Andromeda Contemporaneo, San Jose, Costa Rica
2012 Andrew Shire Gallery, Los Angeles, Californie, États-Unis
2010 LA Artcore, Los Angeles, Californie, États-Unis
2007 Gail Harvey Gallery, Santa Monica, Californie
2003 Sunam Gallery, Busan, Corée du Sud
1997 University of Madrid, Madrid, Espagne
1993 Galerie Markant, Langelo, Pays-Bas
1987 Brandstater Gallery, Loma Linda University, Riverside, Californie
1983 Union Gallery, San Jose State University, Californie
1979 The Phillips Collection, Washington D.C. États-Unis
Collections publiques
Ville de Lyon
American Airlines
Bank of America, San Francisco, California
BL Walters Companies of Denver
Boston University
Burapha University, Chon Buri, Thailand
Continental Bank of Chicago
Earl Witsher Collection
Gerald Rosencranz Collection
Kelly Drye & Warren Law Firm
Komstar Inc. of Los Angeles
Long Beach Museum of Art
National Museum of Contemporary Art, Seoul Grand Park, Korea
Nippon Express USA Travel Inc.
Rajamangala University, Bangkok, Thailand
South Bay Contemporary Museum, Torrance, California
Sriakharinwirot University, Bangkok, Thailand
Stanford University
Taiwan Museum of Modern Art, Taichung, Taiwan
Thailand Cultural Center, Bangkok, Thailand
Ventura Municipal Art Collection, Ventura, California
A. Poupel - Saison 5 - 1

Antoine POUPEL

Paysages introspectifs – Saison 5
Exposition collective du 20 mars au 17 mai 2014

PERCEPTIONS – Saison 5
Extrait de l’exposition du 1er décembre au 28 décembre 2012

Zingaro
Extrait de l’exposition du 10 mars au 15 avril 2012

“Je suis préoccupé par l’étymologie même du terme photographie, il est bien question de peindre, de dessiner. Ainsi la notion d’auteur demeure centrale dans mon travail, si j’ai choisi le médium photographique, c’est pour déconstruire son caractère mécanique, réintroduire la part de l’artiste qui utilise la lumière comme une matière picturale. Les monotypes que je réalise subissent divers traitements, qui les rendent uniques mais tout en renforçant leur spécificité photographique. J’agis avec la chimie comme un peintre avec sa palette, celle-ci est toujours le réceptacle (le révélateur) de la lumière avec laquelle je dessine.”

Antoine Poupel

Saison 5

Je me suis promené au gré des saisons à travers le Japon, parfois en France.
Au cours de quatre voyages j’accumule des images, vu de nombreux lieux, et souvent représenté des aspects du paysage.
Le thème des saisons au Japon a tellement été travaillé, interprété, que de nombreuses références ont fini par me gêner.
Ces photographies sont de petits moments d’illuminations et d’émerveillements. J’ai voulu créer ma propre saison.
II en résulte une réinterprétation par montage d’élément divers, Accompagnant des photographies directes, plus réalistes des quatre saisons.
Cette création est un mélange d’images, qui peut créer une atmosphère surnaturelle.  J’ai souvent montré ma capacité à la transformation des images, au déplacement physique du regardeur pour scruter l’image ; j’aime que le spectateur se perde parfois. Questionnement sur l’image, mais aussi sur la nature, préoccupation majeur de ce début de XXl eme siècle.
Qu’est-ce que je vois ?

Zingaro

Antoine Poupel aime à dire qu’il n’y connaît rien aux chevaux, cet éternel novice de l’art équestre n’est alors pas tenté de photographier la vraisemblance “hippologique”. Celui-ci met de la distance avec son sujet : celle de son objectif photographique qui révéler et réinterpréter depuis plus de vingt ans, les fresques chorégraphiques du théâtre équestre de Zingaro. Véritable “compagnon d’Art” de Bartabas, il a partagé le quotidien de cette troupe, l’a accompagné à travers le monde : d’Aubervilliers à New-York, de Moscou à Tokyo. Cette rencontre “fraternelle”, entre deux formes artistiques est née d’une véritable poésie visuelle.

Biographie

Né en 1956 au Havre, France. Vit et travaille à Paris.

1982 Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique
1984 – 1985 Pensionnaire à l’Académie de France à Rome
1987 Lauréat de la Bourse de Recherche et de Création Léonard de Vinci, pour le Mexique et le Brésil, par le Ministère des Affaires Etrangères
1990 Formation aux Nouvelles Technologies de l’Image (C.N.A.P.)
1992 Bourse du fond d’incitation à la création du Centre National des Arts Plastiques, pour le projet Portraits de Personnalités

Son travail artistique avant-gardiste, questionnant les limites picturales et chimiques de la photographie l’a fait connaître dans le monde entier et lui a ouvert les portes des institutions photographiques les plus prestigieuses ainsi que celle du cabaret Crazy-Horse et du théâtre équestre Zingaro.

Le photographe partage aujourd’hui sa vie entre la France et le Japon, pays dans lequel il jouit d’une forte reconnaissance artistique.
Il a publié de nombreux livres et réalisé de nombreuses expositions en France, en Russie, aux État-Unis, en Europe et au Japon.

Collections
Fond National d’Art Contemporain
Fond Régional d’Art Contemporain de Haute Normandie
Fond Régional d’Art Contemporain d’Ile de France
Musée des Beaux-Arts du Havre
Musée d’Art et d’Archéologie d’Aurillac
Musée d’Art Moderne de la ville de Paris
Artothèque de Toulouse
Maison de la Culture du Havre
Bibliothèque Nationale, Paris
Maison Européenne de la Photographie, Paris
Caisse des dépôts et consignations de Picardie
Agnés B
Chanel K.K.
Musée Métropolitain de la Photographie, Tokyo, Japon
Musée Kasama Nichido, Ibaraki, Japon
Musée Kawaguchiko, Yamanashi, Japon
Particulières
VAGUES ROUGES

Gottfried SALZMANN

Résonance de la 15ème Biennale d’art contemporain de Lyon
Exposition du 14 septembre au 26 octobre 2019 a la galerie
Exposition du 18 septembre au 5 octobre au loft 4.40 a Lyon

Accrochage de printemps
Extrait de l’exposition collective du 21 mars au 4 mai 2019

Gravures d’aujourd’huiSix artistes contemporains
P. ALECHINSKY – Hervé DI ROSA – Speedy GRAPHITO – CH. PEDERSEN – G. SALZMANN – R. TEXIER
Extrait de l’exposition collective du 10 septembre au 29 octobre 2016

Un regard au pluriel
Extrait de l’exposition du 5 novembre au 20 décembre 2015

Cityscapes
Extrait de l’exposition du 7 septembre au 31 octobre 2013

…Rétrospectivement, on constate du reste combien ses aquarelles, remarquables tant par leur technique que par leurs motifs, ont toujours entretenu un dialogue vivifiant avec d’autre groupes d’œuvres, qu’il s’agisse des collages et des dessins au fusain des débuts ou des photographies qui viendront par la suite et qui trouveront, là aussi, à s’intégrer de de façons particulière dans son univers artistique.
Le travail de Salzmann, indépendamment du procédé utilisé, s’inscrit toujours dans un contexte biographique et artistique. …Les vues urbaines, d’une part, et les paysages, de l’autre, sont autant de champs de tension qui s’expriment tantôt dans des nuances vaporeuse, tantôt, dans des aplats colores et dynamique. Salzmann aime à jouer avec toutes sortes de notions de la réalité. Le regard réel, l’œil photographique, la perception des reflets, le vécu actif, les émotions et le ressenti – c’est tout cela que l’artiste fait interférer et concentre dans l’image. Mais, au–delà de cette pluralité, chaque œuvre s’avère comme une expérience tout à fait personnelle de la nature, de la ville, des paysages, comme une expérience sensorielle que l ‘artiste traduit brillamment, avec une grande intelligence esthétique.

Martin Hochleitner, Directeur du Musée de Salzbourg
Extrait de l’avant–propos du livre GOTTFRIED SALZMANN, Cityscapes

Dans le domaine de l’art à la fin du XXe siècle, il existe une technique tabou aux yeux des avant-gardistes : l’aquarelle. Cela est d’autant plus étonnant que le développement de l’art, depuis les années 1960, ne connaît absolument plus de limites esthétique ni technologiques.
La liberté de création permet à l’artiste de recourir à tous les matériaux et a toutes les techniques allant des formes d’expression industrielles aux formes d’expression artisanales traditionnelles. Seule l’aquarelle semble être corrompue par l’abus des cours sans originalité destines aux peintres amateurs, de la Toscane au nord de l’Allemagne. Cela accroît aussi le sentiment d’une injustice historique, laquelle est d’autant plus inexplicable que la première moitié du XXe siècle a vu encore quelques-uns des artistes les plus remarquables démontrer leur talent d’aquarellistes, Paul Klee ouvrant la marche avec d’autre artistes du Cavalier Bleu (der Blauer Reiter).
Faire de l’aquarelle dans ce contexte typique de l’époque semble donc tout aussi risqué que de se spécialiser dans les vues topographiques : vedute urbaines et paysages. Gottfried Salzmann lève radicalement un tabou en se consacrant à ces motifs si longtemps dédaignés. II utilise en effet une technique frappée d’un verdict esthétique qui a toutefois déjà trouvé son grand maître, dans un autre style en la personne du vieil Oskar Kokoschka. Et pourtant, on ne pourrait pas s’imaginer plus grande différence entre les dessins de Kokoschka à l’aquarelle et la technique humide sur humide, unique en son genre, de Gottfreid Salzmann. Salzmann est en effet beaucoup plus proche d’Emil Nolde et de William Turner, parfois également de Rudolf von Alt, et du peintre de Graz, toujours autant sous-estime, Wilhelm Thöny. Salzmann reste cependant unique, tant sur le plan de composition qu’au niveau des couleurs. Bien que la virtuosité ne soit plus depuis longtemps gage de qualité artistique, on ne peut s’empêcher de considérer Gottfried Salzmann comme l’aquarelliste probablement le plus virtuose et le plus complexe des dernières décennies. Salzmann sait faire du papier blanc exempt de tout pigment un support expressif aussi important que la couleur et dans le même temps un élément stabilisateur pour ses compositions. Ses éclaboussures d’eau et de couleurs, comme reparties au hasard sur le papier, sont d’une délicatesse qui n’a rien de doux ou de superficiel en soi, pour la simple raison que celle-ci fait partie, dans un équilibrisme japoniste, de la conception d’ensemble : elle n’est jamais une fin en soi.
Pour l’Albertina, la collection d’aquarelles de Salzmann, propriété du musée, compte parmi les plus précieux trésors.

Klaus Albrecht Schröder
Conservateur en chef du Musée Albertina – Vienne

Biographie

Né à Saalfelden (près de Salzbourg, Autriche) en 1943 et vit à Paris.

1963 – 1965 École des Beaux–Arts de Vienne, Autriche
1965 – 1968 École Nationale Supérieure des Beaux–Arts de Paris, France
Prix
1972 Prix de dessin David-Weil, Paris-Prix Theodor Körner, Vienne, Autriche
1975 Grand prix de dessin de la “Salzbuger Wirschantskammer”, Autriche
1977 1er prix international pour l’aquarelle à Rome, Italie
Expositions personnelles

Après ses études à l’École des Beaux-Arts de Paris, dès 1973, la date de sa première exposition, il entreprend une carrière internationale renommée. Il a, depuis, réalisé plus de 300 expositions personnelles. Ses peintures sont représentées en permanence en Allemagne, en Angleterre, en Autriche, en Belgique, aux États-Unis, en France, en Hongrie, au Japon, au Liechtenstein, aux Philippines, en Pologne et en Suisse.

Expositions dans les Musées et Expositions récentes
2019 Art Fair Vienne, Autriche
Art Fair Karlsruhe, Allemagne
2018 Urban Art Paris,  Galerie Knafo
Museum Schloss Ritzen, Saalfelden, Collection Biering, Autriche
2017 Salon Champs Élysées. Galerie Knafo
2014 Museum Schloss Ritzen, Saalfelden, Autriche
2013 Rétrospective au Musée de Salzbourg, Autriche
2012 Kubinhaus Zwickledt, Zwickledt, Autriche
Oberösterreichisches Landesmuseum, Linz, Autriche
2009 Le Carmel, Tarbes, France
2008 Espace Raymond Moretti, Paris La Défense, France
2006 Ouverture de la Salle Gottfried Salzmann : une salle consacrée à son travail au Musée de Salzbourg, Autriche
2003 Museum Carolino Augusteum, Salzbourg, Autriche
2001 – 02 Musée de Saint-Maur-des-Fossés, La Varenne, France
1998 Palais Bénédictine, Fécamp, France
1996 Centre d’Art Contemporain, Rouen, France (avec Nicole Bottet)
1993 Musée de la Seita, Paris, France
1991 Museum der Moderne Rupertinum, Salzbourg, Autriche
Musée métropolitain de Manille, Philipines
Oberösterreichisches Landesmuseum, Linz, Autriche
1987 Städtische Sammlungen Schweinfurt, Allemagne
1982 Musée Albertina (Prunkräume), Vienne, Autriche
1973 Maison de la Culture, Amiens, France
Collections publiques
Ville de Lyon
Albertina Museum, Vienne, Autriche
Museum der Moderne, Salzbourg, Autriche
Musée de Salzbourg, Autriche
Oberösterreichisches Landesmuseum, Linz, Autriche
Museum Essl, Kunst de Gegenwart, Klosterneuburg, Autriche
Musée de la Ville de Paris, France
Bibliothèque Nationale de Paris, France
Museum Séoul, Séoul, Corée du Sud
Musée Jenisch Vevey, Suisse
Kunstmuseum, Vaduz, Liechtenstein
Metropolitan Museum, Manille, Philippines
Sammlung Leopold, Vienne, Autriche
Strabag Kunstforum, Vienne, Autriche
Musée de Montbeliard, Montbeliard, France
Leopold Hoech Museum, Düren, Allemagne
Museum Ferdinandeum, Innsbruck, Autriche
SL Green Reality Corporation, New York, États-Unis
AIG/American International Group, Inc. New York, États-Unis
Bain Capital Asia, LLC, Hong Kong, Chine.. Etc.

Campbell SANDILANDS

Choix de petits formats
Extrait de l’exposition collective du 5 novembre au 23 décembre 2016

Paysages introspectifs
Ses séries de Mokuhan-ga par la technique d’Ukiyo-é, Monotypes
Extrait de l’exposition collective du 20 mars au 17 mai 2014

Retrouve Shingai Tanaka
Extrait de l’exposition du 7 novembre au 21 décembre 2013

Le sous-titre de l’exposition, “Retrouve..”, symbolise la rencontre des œuvres de deux esprits créatifs, celui de mon regretté maître de calligraphie au pinceau, Shingai Tanaka et le mien.
Jeune homme, j’ai vécu au Japon pendant sept ans, complétant mes Masters en Beaux-Arts à Tokyo avant de partir m’installer à Kyoto. J’ai passé les quatre années suivantes sur place à étudier la calligraphie au pinceau sous l’égide de Shingai Tanaka.
“Retrouve..”, tenue à la GALERIE 48, est la troisième exposition regroupant nos œuvres en dehors du Japon, la première s’étant déroulée à Édimbourg en 2001 et la seconde à Lyon en 2005, c’est d’ailleurs durant cette dernière que j’ai vu Shingai pour la dernière fois.
Etudier la calligraphie au pinceau pendant une si longue période m’a permis de me faire une idée de la philosophie orientale, et m’a orienté vers une approche plus méditative, plus abstraite de mon travail. Un fort intérêt pour la spiritualité marié à un sens de l’esthétique à l’orientale ont permis la réalisation d’œuvres contemplatives qui reflètent mon propre rapport à la spiritualité dans mon chemin de vie.
Travailler sur “Retrouve..” m’a permis de revisiter la structure de mon travail en le rendant plus calligraphique : en utilisant de l’encre sumi pour tracer des lignes au pinceau, puis une technique de surimpression à partir de blocs de bois aux couleurs et textures douces. D’autres œuvres se caractérisent par une impression chargée sur des blocs de bois, à la surface desquels la ligne calligraphique a été gravée. Utiliser du papier oriental fabriqué à la main rajoute une certaine dimension au subtil effet de superposition du tracé calligraphique. Peut-être cela symbolise-t-il les multiples couches qui constituent nos vies, ou alors le voile fin qui sépare le monde tel que nous le percevons de celui qui se trouve au-delà de notre entendement.

 Campbell Sandilands,
Édimbourg, octobre 2013

Biographie

Né à Perth (Écosse) en 1962, vit et travaille à Édimbourg en Écosse.

1989 – 93 Sho International, Kyoto, Japon, Etude de la calligraphie au pinceau (sho)
1987 – 89 Université des Beaux-Arts de Tama, Tokyo, Japon, MA Beaux-Arts
1987 – 89 Académie Yoshida Hanga, Tokyo, Etude de l’impression traditionnelle sur bois (hanga)
1984 – 85 Duncan of Jordanstone College of Art, Dundee, Écosse, Post Diploma
1980 – 84 Duncan of Jordanstone College of Art, BA (Avec les Honneurs, First Class)
Exposition
II expose au Royaume-Uni (Londres, Édimbourg, Dundee et Glasgow), en Corée du Sud et au Japon (Tokyo, Kyoto et Osaka)
Récompenses
2013 Prix du Hope Scott Trust
2005 Artiste en résidence sur une période de 5 semaines au MAPRA, Lyon, France, via le programme d’échange Japon / EU People to People
2003 Artiste en résidence sur une période de 4 mois, Pittencrieff House Museum and Fife Dunfermline Printmaking Workshop, Dunfermline, Écosse, fondé par le Scottish Arts Council et le Carnegie Trust
2002 Prix d’Arts Visuels du Conseil d’Arts écossais de Dundee
Premier Prix du “Salon d’été d’Angus” du Conseil d’Angus
Second Prix, Glaxo Smith Kline “Une Célébration Dans l’Art”
Studio d’Impression d’Art Contemporain de Dundee « Print Open 2002 », Université d’Abertay Prix d’Arts Visuels (Purchase Prize)
1991 Prix du président, Exposition Bi-Ten, Kyoto City Museum, Prix de Calligraphie Libre sponsorisé par le Ministère de l’Education, de la Science et de la Culture du Japon
1990 Prix du Nouvel Artiste, Exposition Bi-Ten, Kyoto City Museum
1986 – 89 Ministère de l’Education, de la Science et de la Culture du Japon, Bourse de recherche
1984 Prix de la foundation Elizabeth Greenshields, Canada
Collections privées et Publications
Collections au Japon, Canada, Royaume-Uni, en Corée du Sud, France, Autriche, Allemagne et aux États-Unis
Campbell Sandilands a été publié dans plusieurs magazines dont “Printmaking Today” et plus récemment “Culture Ocean”, un magazine d’arts sud-coréen
Encre84 x 54 cm

Serge SAUNIÈRE

Lyon Art Paper
Salon de dessin contemporain du 4 au 8 octobre 2023

Ces lieux proposés aux regards que sont mes œuvres participent à la recherche de cette fonction poétique du lieu dans laquelle je pourrais situer la genèse de mon travail. Un lieu qui n’est pas de l’ordre de la représentation mais de l’ordre du surgissement et qui invite au voyage. Un lieu qui est et qui n’est pas. Ce lieu qui est en nous ou qui n’y est pas. Il n’est ni d’ici, ni d’ailleurs, ni ici, ni là.
Il est.
Reste le mystère de la rencontre avec les œuvres. Celui du choc émotionnel qui révèle de l’éblouissement ou de la révélation, maintenant, ici, avant même toute intellectualisation. Reste le mystère de leurs métamorphoses, par leurs interactions mutuelles dans le musée imaginaire qui n’existe que dans notre esprit.
Reste l’indicible.
Reste le mystère.

Serge SAUNIÈRE

Serge SAUNIÈRE
Extrait de l’exposition du 16 mars au 6 mai 2017

Loin, très loin, à des années lumières du tapage et des fracas, Serge Saunière explore l’infini, l’immatériel, l’ineffable. Du grand vide lumineux aux ténèbres profondes, tout est silence, tout est distance. Voyageur solitaire, il s’empare du moment qui passe, l’arrête un instant et, dans un souffle, nous en restitue la quintessence.
Proche de l’ascèse, maître du noir et blanc, il entre-ouvre la porte de l’extrême orient, celle de l’intemporel, de l’indicible. Son œuvre, toute empreinte de spiritualité, magistralement maîtrisée, vient compléter celles de ses prestigieux prédécesseurs de la deuxième partie du XXème siècle: de Degotex, Marfaing, Soulages.

Michèle DESTARAC

Biographie

Né en 1947 à la Grand Combe, Gard.  Vit et travaille à Pontault-Combault, Île-de-France.

Études
1972 – 79 École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
Diplôme Supérieur d’Art Plastique : option, Dessin, Gravure-Taille-Douce, Peinture
Lauréat du Prix Fondation Albéric Rocheron
1980 – 85 Bourse d’étude du Ministère français des affaires étrangères : Maîtrise-Doctorat  “la Peinture traditionnelle japonaise” de l’Université des Arts de Tokyo, sous la direction du prof. Ikuo Hirayama
Bourse de la Fondation du Japon : “Recherches sur les techniques de fabrication des supports traditionnels japonais” de l’Université des Arts de Tokyo sous la direction de Ikuo Hirayama, Kei Terauchi, Yoshiteru Nomura
1986 – 88 Pensionnaire de la Maison Franco-Japonaise de Tokyo
Recherches sur les matériaux, les papiers et les soies
Expositions personnelles récentes sélectionnées
2023 Lyon Art Paper, GALERIE 48,Lyon
Galerie Danielle Bourdette Gorzkowski, Honfleur
Chapelle des Paulines, Tréguier
2018 Musée de l’archerie et du Valois, Crépy-en-Valois
2017 GALERIE 48, Lyon
2015 Théâtre Charles Dullin – invité d’honneur, Le Grand Quevilly, Rouen
Cap sur les Arts – invité d’honneur, Perros-Guirec, Bretagne
2014 Salon des Beaux Arts des Garches – invité d’honneur, Mairie de Garches
2014-2000 MAC Paris, Espace Champerret, Paris
2013 Musée d‘art et d’histoire de Meudon avec Bertrand CREAC’H
Galerie Terres d’Écritures, Grignan
2012 Victoria’s Gallery, Paris
2011 Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart
2010 Galerie Ka & Nao, Grenoble
Expositions collectives récentes sélectionnées
2022 Encres et Céramiques, Galerie Montméat Maurel, Paris
2021 Encres et Céramiques, Galerie Montméat Maurel, Paris
2019 Exposition Collection Gautier & Co. L’Orangerie, Cachan
2018 Galerie Art Aujourd’hui, Paris
2017 Manifestampe, Collection Gautier & Co, Paris
2016 Salon Multiples, Collection Gautier & Co,Morlaix
“Entre noir et blanc ” Galerie Art Aujourd’hui, Paris
2015 Scènes d’Estampes, Château du Val Fleury, Gif sur yvette et Mairie du 5ème, Paris
2014 Galerie Art Aujourd’hui, Paris
“Ames en résonance” Congres des villes jumelées Franco-Japonais, Takamatsu, Japon
2014-2007 Salon des Réalités Nouvelles, Paris, 2014 a Paris et Pékin, 2019 a Paris
2015-2008 Art Capital Comparaisons, Grand Palais, Paris
2013-12 Exposition “Mosaïques”, Pont St Marie
2013 Carte blanche à Christian NOORBERGEN, Galerie SCHWAB BEAUBOURG, Paris
2012-08 Salon des Beaux Arts de Garche, Hôtel de ville de Garche
“Regard sur une collection ”  Gautier & Co, Centre d’art Albert Chanot, Clamart
Collections publiques
Bibliothèque Nationale de France (Cabinet des Estampes)
Figures dans plusieurs bibliothèques en France
Collection Gautier & Co
Publication sélectionnées
2021 Monographie “Fragments d’Arcadie” compte d’auteur/Éditions Coiffard, Dépôt BnF
2013 “Lire écrire” texte de Charles Juliet,  éd. Voix d’Encre
2010 “Abécédaire d’une carpe”poèmes de Alain Blanc, éd. Voix d’Encre
“Écrire et peindre au dessus de la nuit des mots”   éd. Voix d’Encre
2005 “Diptyque avec une ombre” poème de Jacques Ancet, éd. Arfuyen
2003 “De la montagne et des premiers jours”poèmes d’Alain Blanc, éd.Voix d’Encre
2002 “Onze vues des Pyrénées” texte de Kenneth White, éd. Voix d’Encre
1996 Gravure “Chine Arabie”  BPI, Centre George Pompidou
Illusion ontologique

Mitsuharu SAWADA

Illusion Ontologique
Extrait de l’exposition du 18 octobre au 24 novembre 2012

Illusion Ontologique

“Ma recherche se fonde sur une vision de l’existence qui est en connexion avec l’univers dans lequel évolue ma création artistique. J’exprime de manière concrète des éléments d’abstraction qui servent de base à mon inspiration.
Mon but ultime est de formaliser de façon picturale des concepts qui concilient un équilibre entre idéalisme et réalité.  Mes sources d’inspiration se trouvent dans une transcription d’éléments naturels qui servent de points d’ancrage à la rencontre du temps et de l’espace que j’invite dans toutes mes créations.

“Ma vision de l’art repose sur l’illusion ontologique”

Il faut être la tête vide dans une posture méditative face au mur blanc.  Il n’est pas facile de méditer. Il faut savoir laisser entendre le temps qui passe et même accepter le surgissement  de quelque chose. Une chose qui semblerait sortir du mur ou du tableau comme une idée. Mais c’est le regard qui lui donne son existence. Cette chose n’est pas dans le tableau, elle naît du regard de l’homme qui donne la valeur aux choses. Je laisse agir une dimension psychologique comme un résultat naturel et spontané…..”

Mitsuharu Sawada

Biographie

Né en 1947 à Osaka, Japon. Vit et travaille à Paris.

1965 Université des Beaux-Arts de Kyoto (Japon)
1978 Diplôme de l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (Belgique)
1981 – 1984 Professeur de peinture – l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Namba (Japon)
1993 – 1994 Professeur de peinture – Centre Culturel franco-japonais, Paris
1998 – 2001 Professeur de peinture – Université d’Hiroshima (Japon)
Prix
1995 Médaille d’Or – Prix International des Arts Plastiques d’Unet (France)
1994 Premier Prix de Peinture – Concours international d’Europe prix décerné à l’issue d’un concours auquel sont invités à participer
1993 Invité d’honneur de la Principauté de Monaco au Prix International d’Art Contemporain de Monte-Carlo
Grand Prix de Peinture avec mention, attribue par le jury de Sarreguemines
Premier prix de peinture de la ville d’Othis (France)
1992 Prix international HOF DE BIST’20 à Anvers (Belgique)
Premier prix de peinture international d’Agachi à Milan et invite d’Honneur
1990 Grand prix de peinture avec mention, attribué par le jury du Prix International d’Art Contemporain d’Ostende (Belgique)
Prix de peinture international, Vitry
1983 3e prix de Nichido, Tokyo
Premier prix de peinture, Kyoto
1978 Prix d l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles
1973 3e prix international d’Art Contemporain, Tokyo
Collections
Musée de Sarreguemines, France
Musée de Lovere, Italie
Musée de Bergame, Italie
Musée de Kure, Hiroshima, Japon
Musée de Kameya, Japon
Khora

Tatsuhiro SUIZU

Gentle Waves
Tatsuhiro Suizu – Jane Norbury – Hiromi Kuboi
Extrait de l’exposition du 25 mai au 15 juin 2024

Nouvelle direction de la peinture japonaise
Extrait de l’exposition du 16 mai au 29 juin 2019

Accrochage de printemps
Extrait de l’exposition collective du 21 mars au 4 mai 2019

Dialogues avec les aînés
Peinture japonaise traditionnelle par deux jeunes peintres nippons
Extrait de l’exposition du 19 mai au 2 juillet 2016

Au Japon, depuis l’Antiquité, grâce à la nature, le est particulièrement apprécié ; il ne dépend pas de la logique et à chaque époque il a contribué à créer un sens esthétique. Visant un nouveau sens de la beauté, je recherchais un moyen de m’exprimer dans ce < domaine de l'intuition >. Comme indicateur de mon exploration, j’ai nommé ces oeuvres « Khora ». Ce mot traduit un concept qui apparaît dans le Timée de Platon. Mon interprétation est que Khora représente comme un « lieu » pour une existence différente, un domaine contraire de la logique qui classe et organise les choses par la raison et le langage. Et, je crois que ce domaine est mutuellement accessible à la pensée orientale.
Il s’agit d’une série d’œuvres dans lesquelles les lignes du pinceau sont dessinées et superposées au technique orientale sur l’aluminium, lui-même issu de la modernité occidentale. J’exprime un nouveau et son universalité, en incorporant et répétant les techniques et les concepts de chaque culture et civilisation.

Tatsuhiro SUIZU
Avril 2024

Biographie

Né à Hiroshima, Japon en 1987.

2013 Master en peinture japonaise de l’Université des arts de Tokyo
2011 Licence en peinture japonaise de l’Université des arts de Tokyo
Expositions personnelles
2024 “Gentle waves” GALERIE 48, Brignais, France
2023 “LANDSCAPE here and there” MARUEIDO JAPAN Fine art gallery, Tokyo
“Tatsuhiro SUIZU” SOGO Yokohama Art gallery, Yokohama, Japon
“Spectrum selection vol.9 – Three Elements” HONEN-IN Temple, Kyoto, Japon
“Quietly” Fukuya hatchobori store Art Gallery, Hiroshima, Japon
2022 “SŌYŪ” Nihombashi Mitsukoshi main store Art Gallery, Tokyo
“Atomoscape” SEIBU Ikebukuro Art Gallery, Tokyo
“Think of water” Sendai Mitsukoshi store Art Gallery, Miyagui, Japon
2021 “L’avenir du paysage” Bunkamura Box Gallery, Tokyo
2020 “Dans le paysage” Nihombashi Mitsukoshi main store Art Gallery, Tokyo
2019 “Nouvelle direction de la peinture japonaise” Suizu et Yasuhara, GALERIE 48, Lyon, France
2016 “Dialogues avec les aînés” Suizu et Yasuhara, GALERIE 48, Lyon, France
2015 Pièces Exhibition, Gallery Goto, Tokyo
2014 “L’espoir 2014 Tatsuhiro Suizu” Ginza Surugadai Gallery, Tokyo
Expositions collectives sélectionnées
2023 “Résidence de peintures japonaises” Sen-oku Hakukokan Museum Tokyo
“NEO JAPANESE PAINTINGS” Daikanyama Hillside Forum, Tokyo
“Bunkamura Gallery 8/ Opening Selection Vol.2 Calm” Bunkamura Gallery 8/, Tokyo
2019 “Accrochage de printemps”, GALERIE 48, Lyon, France
Japonismes 2018 “Tradition et transmission”, Médiathèque de Chamonix-Mont-Blanc, France
“La Nouvelle Vague de la peinture Japonaise” Bunkamura Gallery, Tokyo
“2018 tobi ART FAIR” Tokyo Art Club, Tokyo
“Tradition et transmission”160ème anniversaire des relations entre la France et le Japon, Hôtel de Ville de Lyon, Hôtel de Ville de St Étienne, Lyon Mairie du 3ème,France
“FACE 2018” Seiji Togo Memorial Sompo Japan Nipponkoa Museum of Art, Tokyo
2017 “5th Oka-Sho Sakura Award” Exhibition, Sato Sakura Museum, Tokyo
2016 “Yamatane Museum of Art NIHONGA AWARD : Seed 2016” Yamatane Museum of Art, Tokyo
2015 “FACE 2015” Seiji Togo Memorial Sompo Japan Nipponkoa Museum of Art, Tokyo
2014 INTEN* Printemps, Institut d’art du Japon, Tokyo
2013 INTEN* Saiko, Institut d’art du Japon, Tokyo
2012 INTEN* Printemps, Institut d’art du Japon, Tokyo

*INTEN : Exposition et Concours historique de peinture japonaise après sélection préliminaire organisé par l’Institut d’art du Japon.

Collection
Privées : Au Japon et en France
Publique : Université des arts de Tokyo